Rayonnement du secteur

Le RTMQ a pour vocation d'améliorer l’image et la mobilisation des entreprises du secteur. La pénurie deressources humaines est un enjeu auquel sont confrontées toutes les entreprises oeuvrant dans la transformation métallique. Afin d'y remédier, le RTMQ organise des activités qui permettent de faire connaître le créneau comme un cluster d’envergure internationale et attractif (citons parmi d'autres le
Championnat de soudure).

Par ailleurs, en fournissant aux entreprises un bulletin de veille quotidienne ciblé , le RTMQ offre à ses membres des opportunités de projet, des exemples de succès et identifie les tendances à saisir.

Retour

Le 12 février dernier, dans le cadre des Portes ouvertes sur la formation professionnelle, le Centre Anjou, en collaboration avec le Réseau de la transformation métallique du Québec (RTMQ), invitait le grand public à la première édition de son Championnat de soudage

 

 

 

 


Le 12 février dernier, dans le cadre des Portes ouvertes sur la formation professionnelle, le Centre Anjou, en collaboration avec le Réseau de la transformation métallique du Québec (RTMQ), invitait le grand public à la première édition de son Championnat de soudage.

Cette compétition visait les personnes n’ayant jamais soudé auparavant, qui souhaitaient tester leurs habiletés et découvrir les rouages du métier de soudeur.

Grâce à son impressionnante maitrise technique, Hassan Tabrizi a remporté le premier prix. Christopher Lorch, élève de l’école secondaire de la Pointe-aux-Trembles et Raphaël Pauzé, élève du Collège de l’Assomption, ont quant à eux décroché les 2e et 3e positions respectivement.  

Les trois gagnants ont reçu une attestation et un chèque cadeau Best Buy (respectivement 250$, 150 $ et 100 $) de la part du RTMQ, ainsi qu’un chandail du département de soudage du Centre Anjou.

Les organisateurs de l’événement ont atteint leur objectif : susciter l’intérêt du public pour ce métier qui connait une forte demande en main d’œuvre. Deux des gagnants ont d’ailleurs démontré un grand intérêt pour la formation et M. Tabrizi s’est inscrit au programme du Centre Anjou pour la prochaine session!

Les différents programmes en métallurgie et en fabrication mécanique offerts dans les centres de formation professionnelle de la CSPÎ permettent aux élèves d’obtenir une formation de qualité, conçue pour répondre aux besoins du marché du travail, et d’obtenir rapidement un emploi bien rémunéré.

À propos des Centres de formation professionnelle de la CSPÎ

Les 6 centres de formation professionnelle offrent plus de 35 programmes passionnants dans différents domaines tels que : administration, commerce et informatique; alimentation et tourisme; bâtiments et travaux publics; coiffure et esthétique; communication et documentation; électrotechnique; entretien d’équipements motorisés, fabrication mécanique, métallurgie et soins de santé.

Focus Régional: Montérégie, un article du journal Les Affaires écrit par Maxime Bilodeau le 15 avril 2020

 

FOCUS RÉGIONAL: MONTÉRÉGIE. Affirmer que l'économie de Sorel-Tracy repose en bonne partie sur la transformation métallique serait un euphémisme. «On estime que le poids de cette industrie dans l'économie locale est d'un peu plus de 50 %. C'est majeur !», affirme Jacques Thivierge, commissaire industriel de la Ville de Sorel-Tracy. Le pilier de ce secteur a pour nom Rio Tinto Fer et titane, qui exploite un vaste complexe métallurgique qui produit du dioxyde de titane, de la fonte brute, de l'acier et des poudres métalliques. En 2020, l'entreprise soufflera d'ailleurs ses 70 bougies.

À elle seule, l'ancienne Q.I.T. (pour Quebec Iron and Titanium) emploie 1 400 personnes dans cette région d'environ 42 000 habitants. Tout autour de ce mastodonte gravitent maintes firmes de consultants et de sous-traitants, lesquelles représentent d'innombrables gagne-pain. «On parle d'entreprises comme Fabtech et Acier Richelieu, d'ateliers d'usinage qui créent une chaîne de valeur... S'il fallait qu'un autre procédé de fabrication de dioxyde de titane pour l'industrie du pigment soit découvert, ce serait une catastrophe pour Sorel-Tracy», admet Jacques Thivierge.

La situation ailleurs en Montérégie est fort semblable. Selon le ministère de l'Économie et de l'Innovation, la région regroupait 21 % des entreprises métallurgiques du Québec en 2018, avec environ 750 entreprises. Cette dynamique industrielle est portée par la présence d'employeurs importants, comme Pratt & Whitney Canada, ArcelorMittal et General Electric Canada. À eux seuls, ces poids lourds emploient 8 500 travailleurs, soit 26 % de la main-d'oeuvre de l'industrie métallurgique en Montérégie, par ailleurs la deuxième région administrative manufacturière de la province après Montréal.

Des enjeux multiples

Le Réseau de la transformation métallique du Québec (RTMQ), basé à Longueuil, s'adresse à l'industrie de la transformation, ainsi qu'aux fabricants, distributeurs et fournisseurs qui la desservent. Grâce au fond de créneau ACCORD, il a accès à un fond qui lui permet de financer des projets structurants, principalement auprès de 200 entreprises de taille moyenne. «Notre objectif est d'aider les PME à tirer leur épingle du jeu. Cela passe souvent par des projets menés en collaboration avec de grands joueurs», précise Frédéric Chevalier, directeur général du RTMQ.

Ces années-ci, l'industrie de la transformation métallique a été confrontée à un problème de ressources humaines. Dans son diagnostic publié en 2019, le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre dans la fabrication métallique industrielle y fait par exemple état de près de 6 400 postes à pourvoir dans l'ensemble du Québec. «Nous n'avons pas assez de métallurgistes qui sortent des bancs d'école. Il nous faudrait en outre 1 000 soudeurs demain matin», déplore-t-il.

Parmi les autres problèmes, il y a celui de la trop grande dépendance au marché nord-américain. Celle-ci a d'ailleurs été mise en relief par l'imposition de tarifs douaniers par les États-Unis aux importations d'acier et d'aluminium en provenance du Canada, en 2018 et 2019. Bien que ces surtaxes aient été levées à la fin de l'année dernière, cet épisode a éveillé les consciences. «Cela a forcé l'industrie à tourner son regard vers d'autres marchés, comme celui de l'Europe, avec qui on vient de signer un très bel accord de libre-échange», analyse l'expert

Se démarquer dans le marché

Dernier problème, mais non le moindre : un déficit en innovation, qui se traduit par la tendance qu'ont les sous-traitants et fournisseurs d'attendre les commandes de la part des donneurs d'ordre. Pour briser ce cercle vicieux, synonyme de grande vulnérabilité pour les PME, le RTMQ encourage celles-ci à développer de nouveaux produits à valeur ajoutée. «Ce faisant, le sous-traitant se positionne avantageusement par rapport au donneur d'ordre. Le jour où ce dernier passe en production de plus grands volumes, il sait à qui s'adresser», explique Frédéric Chevalier.

C'est ce qu'a fait le Groupe Tremblay, de Saint-Anicet, en mettant au point un robot soudeur flexible qui utilise la technologie du soudage par friction malaxage où la fusion est exempte. Grâce à ce robot unique au monde, l'entreprise d'une centaine d'employés est venue à bout de la corrosion sur des plaques d'aluminium de grandes dimensions. «Notre but était de valoriser des plaques en aluminium utilisées pour la fabrication de plaques cathodiques dans le procédé d'électrolyse du zinc», précise Gail Comeau, la tête pensante du projet chez Groupe Tremblay. Depuis sa mise en service à la fin 2014, la cellule robotique a réalisé avec succès 30 000 soudures pour le compte de clients comme CEZinc.

En début juillet 2020, le magazine Production Machining publiait un article sur l’impact des réseaux sociaux sur la visibilité des ateliers d’usinage. Nous l’avons lu pour vous et en voici les grandes lignes.

Au fil des années, un grand nombre d’ateliers d’usinage ont développé un site web. Alors qu’initialement de telles plateformes présentaient essentiellement les coordonnées de l’entreprise ainsi que sa mission, les sites web sont progressivement devenus une mine d’informations pour les clients. Nous pouvons en effet y retrouver des articles de blogues, les nouvelles acquisitions de la compagnie, les certifications obtenues, les prix de reconnaissance, etc.

 

Mais saviez-vous que selon les sondages (Modern Machine Shop, Top Shops), il existe une étroite corrélation entre la performance des ateliers d’usinage américains et l’utilisation des médias sociaux?

 

Pourquoi s’engager sur les réseaux sociaux?

  • Faire connaître vos capacités,
  • Partager votre culture d’entreprise,
  • Présenter vos succès,
  • Fidéliser votre clientèle en lui offrant des conseils (conception de pièces versus usinage, amélioration de la productivité…),
  • Diriger vos clients vers votre site web,
  • Assurer votre visibilité notamment en amenant vos abonnés à partager vos articles ou vos posts.

 

Quelles sont les plateformes à privilégier?

  • Linkedin (partage des connaissances en usinage ou autres),
  • YouTube permet d’ouvrir les portes de votre entreprise aux clients existants et potentiels. La diffusion de vidéos révèle les capacités de l’entreprise, les processus / procédés établis ou encore l’engagement des professionnels.
  • Facebook peut également être utilisé notamment pour recruter de nouveaux talents.
  • Instagram, par le biais de photos ou vidéos, permet de présenter vos nouveaux équipements, les pièces fabriquées, etc.
  • Twitter (rayonnement de la culture de l’entreprise).

 

Notez que pour assurer la visibilité des entreprises du secteur, le RTMQ dispose de toutes ces plateformes, aussi, nous pouvons vous aider à vous démarquer! Pour ce faire, n’hésitez pas à nous partager vos nouvelles. (fcharreteur@rtmq.ca).

 

Pour en savoir plus : https://www.productionmachining.com/blog/post/cnc-machine-shops-how-engaged-with-social-media-are-you

 

Webinaire gratuit: Repenser nos chaînes manufacturières, pour une économie forte et résiliente.

Pour connaître l'état du marché de la transformation métallique, ne manquez pas notre webinaire le 29 octobre prochain, ayant pour thème « Repenser nos chaînes manufacturières » organisé par le Conseil économique de Beauce et présenté en collaboration avec Deloitte et E&B Data.

Pour vous inscrire  https://cutt.ly/RgsyNjK

La rareté de la main-d'oeuvre spécialisée a des impacts sur les capacités de production même en situation de pandémie

MONTRÉAL, le 25 nov. 2020 /CNW Telbec/ - Malgré le ralentissement économique, les entreprises manufacturières qui transforment le métal font encore face à des problèmes de pénurie de main-d'oeuvre. C'est ce qui ressort d'un sondage mené récemment par les organismes PERFORM, le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre dans la fabrication métallique industrielle, le Réseau de la Transformation Métallique du Québec (RTMQ) et Sous-Traitance Industrielle Québec (STIQ) auprès de PME québécoises dans ce domaine. Selon les informations fournies par une centaine de répondants, il appert que l'enjeu de la pénurie de travailleurs dans les métiers spécialisés demeure une problématique bien réelle pour le secteur manufacturier et que celle-ci a un impact sur les capacités de production des entreprises.

Trois quarts des entreprises sondées indiquent rencontrer des difficultés de recrutement de main-d'oeuvre et près de la moitié considèrent qu'elles sont plus fréquentes depuis le début de la pandémie. Les soudeurs, soudeurs-assembleurs ainsi que les journaliers sont des perles rares recherchées par près de 50% des répondants. Pour plus des trois quarts d'entre eux, la requalification de travailleurs provenant d'autres secteurs d'activité pourrait être une solution à envisager ainsi que le recours à la formation. Malheureusement, ces possibilités sont compromises par la non-disponibilité des travailleurs qui doivent se concentrer à la production.

Production des entreprises, carnets de commandes et l'opportunité du « Fabriqué au Québec »

La majorité de ces entreprises ont vu leur production diminuer depuis le début de la pandémie. Plus du quart affirment avoir enregistré une baisse de production supérieure à 25 %. Quelques-unes associent cette baisse aux difficultés économiques que traverse actuellement l'industrie aérospatiale alors que d'autres l'attribuent au manque criant de la main-d'oeuvre. Les deux tiers des entreprises déclarent enregistrer une baisse de leur carnet de commandes, dont le tiers l'estime supérieure à 20 %.

En contrepartie, 15 % d'entre elles constatent une hausse de leur volume de production, imputée à la forte demande pour les produits du domaine de la construction, ainsi que pour les équipements médicaux et le matériel lié à l'horticulture.

Pour faire face à la crise sanitaire, le gouvernement du Québec a mentionné à quelques reprises sa volonté d'encourager la fabrication au Québec. Plus de la moitié des entreprises considèrent avoir la capacité de réaliser ce défi dès maintenant, alors que seulement un tiers estiment que cela sera possible d'ici les cinq prochaines années. Pour ce faire, elles affirment qu'il est impératif de trouver des solutions à la problématique liée à la rareté de la main-d'oeuvre. Pour plusieurs, des investissements en capitaux seront requis afin d'augmenter la productivité de leurs installations en investissant dans des équipements de pointe.

La pérennité des entreprises

La pandémie risque de compromettre la pérennité d'environ 30 % des entreprises répondantes. Ce pourcentage est identique à celui obtenu lors d'une enquête similaire menée en mai dernier. Note encourageante, un transfert de 5 % a eu lieu de la catégorie « risque très élevé/élevé » à celle « risque moyennement élevé ». Enfin, les deux tiers des répondants demeurent « optimistes ou très optimistes » en ce qui concerne la relance de l'économie au cours des six prochains mois.

« Le besoin d'attraction des nouveaux travailleurs pour les métiers spécialisés est criant. C'est pourquoi l'industrie de la FMI doit saisir l'opportunité de la requalification des travailleurs oeuvrant dans des industries davantage pénalisées par la pandémie. De plus, des investissements massifs en formation et en rehaussement des compétences n'ont jamais été aussi urgents. C'est pourquoi PERFORM salue l'annonce du Gouvernement du Québec lors de sa récente mise à jour budgétaire, d'y investir des sommes importantes », a ajouté Carl Boily, directeur général de PERFORM.

« La situation actuelle incite à accélérer l'automatisation et la robotisation, mais les entreprises savent que cela n'est pas envisageable sans le rehaussement des compétences et la requalification d'une partie de leur personnel. C'est un défi financier et organisationnel qu'il va falloir dépasser pour un repositionnement stratégique du secteur », selon Frédéric Chevalier, directeur général du RTMQ.

« Le sondage montre qu'une entreprise sur deux est prête à réorganiser à court terme ses opérations pour rapprocher localement sa chaîne de valeur. C'est un virage possible, car la fabrication métallique est ici caractérisée par une production sur mesure et à petite échelle », a précisé Richard Blanchet, président-directeur général de STIQ.

Le sondage a été mené du 13 au 16 octobre 2020 auprès de 93 entreprises du domaine de la transformation métallique.

À propos de PERFORM

Le Comité sectoriel de la main-d'oeuvre dans la fabrication métallique industrielle existe depuis 1993. Le comité est une organisation à but non lucratif dont le Conseil d'administration est composé uniquement de représentants de l'industrie (patronal et syndical). La Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) contribue au financement du comité. Sa mission consiste à favoriser et consolider la concertation entre les différents acteurs de l'industrie de la fabrication métallique en vue d'un objectif commun : la formation et le développement des compétences de sa main-d'oeuvre.

À propos du RTMQ

Le Réseau de la Transformation Métallique du Québec (RTMQ) est le créneau d'excellence ACCORD Transformation Métallique. Le RTMQ soutient le développement et l'innovation des entreprises du secteur, en particulier grâce à des projets collaboratifs. Le RTMQ fait la promotion des meilleures pratiques et des entreprises innovantes afin d'améliorer la compétitivité des entreprises et de tous les partenaires du secteur de la transformation métallique.

À propos de STIQ

Fondée en 1987, STIQ (Sous-Traitance Industrielle Québec) est une association multisectorielle d'entreprises québécoises qui a pour mission de développer les relations d'affaires et améliorer la compétitivité des entreprises manufacturières afin de favoriser l'essor de notre économie.

https://cdn.ca.yapla.com/company/CPYfHYrUnESFhd9Z8UKYtehw/asset/files/R%C3%A9sum%C3%A9%20sondage%20automnal%202020_vf.pdf

Situé à Varennes, sur la Rive-Sud de Montréal, Scène Éthique se spécialise, depuis 1995, dans la conception et la fabrication d’infrastructures de scènes, de gradins, d’équipements mécanosoudés et de décors pour le secteur du spectacle et de l’évènement à grand déploiement. Scène Éthique est un manufacturier culturel innovant et performant.

 

L’entreprise dispose d’une bâtisse de 60 000 pieds carrés à l’intérieur de laquelle sont regroupés le service d’ingénierie, la charge de projets clé en main, le service de prototypage et de modélisation 3D, une usine certifiée CWB (acier 47.1, aluminium 47.2), une menuiserie complète, un studio dans lequel sont montés et testés les décors scéniques munis d’espaces (bureaux, loges) mis à la disposition des équipes de préproduction.
 
Au fil des ans, Scène éthique a mis à contribution son expérience et son expertise pour la réalisation de décors et de « machines scéniques » ayant un rayonnement international : pour le Cirque du Soleil (Luzia, Kooza, Amaluna, Kurios, Totem), Robert Lepage (Metropolitain Opera – The Ring Cycle et plusieurs opéras), Céline Dion (A New Day à Las Vegas, Taking Chances World Tour), le Cirque Éloize (Saloon, ID), Moment Factory (Foresta Lumina), Lune Rouge Entertainment (PY1) pour ne nommer que ceux-là.
 
En 2020, suite à la crise de la COVID-19 et au ralentissement de la demande pour les installations liées au domaine du spectacle, cette entreprise innovante a diversifié son offre en offrant des services de sous-traitance pour les secteurs de la construction et industriel. Plus explicitement, la soixantaine d’employés de l’entreprise (chargés de projet, soudeurs, assembleurs-soudeurs, machinistes, dessinateurs, peintres…) se concentre désormais sur la conception et la fabrication de structures en aluminium comme par exemple les charpentes et les passerelles. À long terme, l’entreprise prévoit de maintenir ce service.
 
Scène Éthique a également perçu la crise de la COVID-19 comme une opportunité notamment en repensant ses stratégies de communication, de marketing et de ventes. L’entreprise est donc bien présente sur les réseaux sociaux comme Linkedin ou Facebook. Autre stratégie marketing mise en place par l’entreprise : le ciblage des clients et l’envoi de courriel à large échelle. Scène Éthique a donc transformé son plan de développement d’affaires pour répondre aux tendances actuelles et futures.
 
Pour en savoir plus : https://sefabrication.com/

Fin 2020, le RTMQ a concerté Richard Martel, Président et Directeur Général de AP International, afin d’en apprendre davantage sur l’état de la situation dans les secteurs du transport, de la logistique et de l’entreposage.

Dans une capsule vidéo, Richard Martel nous partage donc plusieurs bonnes nouvelles sur les différents modes d’acheminement des marchandises (actifs, coûts) ou sur la disponibilité des locaux destinés à l’entreposage.

 

https://www.youtube.com/watch?v=V8dXkxJG57Q&feature=youtu.be&ab_channel=APInternational-3PL%2CFreight%2CLogistics

 

AP International est un fournisseur mondial de services logistiques clés en main localisé dans la grande région de Montréal. AP International simplifie la gestion du commerce national et international pour ses clients depuis 1995; fret et transport, courtage en douane, logistique.

 

Contact :

Richard Martel, PDG AP International

rmartel@apinternational.ca
www.apinternational.ca

Abonnez vous à l’infolettre